En Corse, l’actualité politique se résume par les problèmes avec le gouvernement ainsi que le changement de mandature à l’Assemblée. À la fin de l’année 2016, les médias se sont intéressés particulièrement aux primaires de la droite. À titre de rappel, le 18 janvier de l’année dernière, les présidents de l’Assemblée et ceux du Conseil exécutif se sont réunis à Paris pour la première fois.
Une rencontre non prometteuse
En juillet 2016, Manuel Valls a misé sur la loi NOTRe tout en mettant l’accent sur une seule collectivité en 2018. Jean-Michel Baylet qui a pris la place de Marylisse Lebranchu se chargeait de la rédaction des ordonnances.
Quelques mois plus tard, notamment en septembre, le ministre de la justice, Jean-Jacques Urvoas, a fait une descente en Corse, sans faire une déclaration à travers les médias. Cette initiative a permi à de nombreux détenus de bénéficier de remises en liberté, notamment la libération de Pierre Paoli.
Le côté fiscal
En dernier mois de l’année 2016, la gauche s’est montrée intéressée à la proposition de loi à l’initiative du député LR. Elle concerne la prorogation du régime fiscale dérogatoire en Corse-du-Sud.
Toutefois, la loi que le Sénat est sur le point d’approuver concerne le paiement d’une partie des droits de succession par les insulaires avec une durée d’une dizaine d’années.