Selon le parti Les Républicains, le non au référendum ne laisse aucune place à la Grèce dans la zone euro. Toutefois, elle envisage encore de tenter une seconde chance. Sur ce sujet, les centristes se veulent être plus stricts.
Suite au « non au référendum », est-ce qu’il est grand temps pour les Grecs de quitter la zone euro ? Cette situation n’ouvre certainement que vers la division de la droite en France où la tension est tendue : fermeté ou issue à Athènes. Selon Alain Jupé, l’ex Premier Ministre le fait de trouver des solutions durables afin que la Grèce reste dans la Zone euro n’est pas sans répercussion négatives.
Trouver des moyens à tout prix pour y parvenir ne fera que fragiliser le système. À son propos, le maire de Bordeaux a signalé que l’important est de l’aider à s’en sortir sans problème. Toutefois, le but n’est pas d’exclure la Grèce de l’Union.
Éric Woerth, conseiller politique de l’ancien président Nicolas Sarkozy, a signalé que la sortie de la zone euro n’a rien de très grave, sachant que ce pays n’y occupe pas un rôle important.
Or, récemment, Nicolas Sarkozy, président des Républicains, a souligné que si les Grecs nient cette situation, Tsipras fera appel à l’intervention de ses partenaires européens pour dicter un mandat encore plus grave.