Les 3 parties de la majorité présidentielle s’apprêtent aux investitures pour les sénatoriales. La Renaissance, Modem et Horizons s’entraident mutuellement dans une catégorie de départements. Cependant, dans la partie Nord ou les Hauts-de-Seine, le désaccord s’incruste. À Paris, le cas du Julien Bargeton crée un conflit et la plupart évoquent plusieurs scénarios stupéfiants.
Ça fait plusieurs mois que la Renaissance, le Modem et Horizons font un échange à propos des listes pour les élections sénatoriales qui vont se dérouler le 24 septembre. Cependant, la Renaissance a créé un malaise, en choisissant d’investir ses sénateurs sortants, sans consulter les avis de ses alliés. Une politique qui n’est pas passée comme prévu.
Les discussions entre les trois hommes à propos des élections sénatoriales se sont interrompues plutôt, Franck Riester pour Renaissance, Marc Fesneau pour le Modem, et l’ex-député et dirigeant du groupe indépendants et progressistes du Conseil de Paris, Pierre-Yves Bournazel pour Horizons. Si aucun d’eux n’offre pas à temps un but de progression, l’effectif global des sénateurs favorables à la majorité présidentielle reste instable.
La Renaissance a déjà investi une nouvelle catégorie de candidats, ce lundi soir. D’après François Patriat, le président du groupe RDPI (Renaissance) du Sénat, un règlement s’impose dans leur groupe, et ce, de soutenir les sortants partout. Il a ajouté qu’ils sont à la fois constructifs, loyaux et fermes, concernant les engagements des candidats. Cela veut dire qu’ils jurent de soutenir le gouvernement.