Le travail que Madame Chrystia occupe dans le domaine politique ne se limite pas sur le ministère des Finances, ce qui permet à la partie opposée de se démarquer sur le plan économique.Chrystia Freeland est entré dans l’univers de la politique, depuis 2015. Elle a réussi dès son intégration à occuper ce terrain.
Elle se démarque, grâce à sa visibilité, même dans un cabinet avec une activité faible, médiatisé par le Premier ministre. Mme Freeland est la première vice-première ministre qui rayonne. Toutefois, en matière économique, est-elle toujours à la hauteur ?
Les corps politiques qui ont promu Chrystia Freeland à la tête des finances de l’état fédéral se sont bien informés. Au niveau du Commerce international, elle était à la première place de la confirmation d’une influente entente de libre-échange entre le Canada et l’Union Européenne. Au sein des Affaires étrangères, elle a dirigé la renégociation entre l’ALENA et le gouvernement Trump.
Depuis que la guerre en Ukraine a éclaté, Chrystia Freeland a réussi à tisser du réseau international d’envergure. Quand un chancelier allemand, Olaf Scholz a rendu visite au Canada, c’était elle qui l’a accueilli à l’aéroport.
En termes de relations internationales, le Premier ministre et la vice-première ministre travaillent en tandem. Ainsi, la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly ne s’occupe que de peu de place.
Une chose est sûre, si le Premier ministre, Justin Trudeau céderait sa place à Chrystia Freeland, les partenaires internationaux du Canada s’orienteraient vers une terre connue.
Chrystia Freeland s’occupe du poste de la ministre des Finances. Mais ses prestations sur la scène économique et sur les circuits internationaux promettent à son gouvernement un meilleur avenir.