Ce lundi à l’Assemblée nationale, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a éclairci les dispositions du projet de loi sur le pouvoir d’achat. Alors que l’exécutif a vanté sur l’échange et l’accord, les parties opposées l’ont critiqué ouvertement.
Lorsque Bruno Le Maire a pris la parole, afin d’expliquer les dispositions du projet de loi de pouvoir d’achat, en compagnie de plusieurs rapporteurs à l’Assemblée nationale, les sièges de la majorité se sont dispersés. Les oppositions les ont critiqués fortement et finissent même par les traiter de menteurs, des marionnettes du président Emmanuel Macron.
En fait, l’agitation est déjà bien présente dans les parties opposées, ce qui crée aussitôt par les discours du ministre de l’Économie. L’examen de ce projet de loi dure pendant de nombreux jours et assure un débat bouillonnant.
La majorité a fourni quelques propositions, la déconjugalisation de l’allocation adulte est autorisée, mais la plupart sont exclus ou considérés insignifiants par la Nupe, le RN ou LR. Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, a évoqué que la majorité était ouverte. De plus, elle voulait travailler de façon constructive, sans oublier de mentionner que le consensus ne se paye pas, grâce à des milliards et ne se forme pas au détriment des charges publiques.
D’après Véronique Louwagie, députée LR et vice-présidente de la commission des finances, la plupart des oppositions sont d’accord au texte concernant le pouvoir d’achat, pourtant, ils ne suivent pas le gouvernement sur le projet de loi des finances rectificatives, duquel le dispositif carburant ne s’accorde pas du tout avec leur attente.