Les comportements politiques de Valls et de Mélenchon sont actuellement au centre des débats des politiciens. Depuis déjà quelques jours, ils intéressent les médias et deviennent les principaux sujets des presses. La violence verbale est née de l’arrivée de l’ex-Premier ministre au trône parlementaire sur la Nouvelle-Calédonie.
Valls est, selon Jean-Luc Mélenchon, à travers une lettre adressée au président de l’Assemblée, François de Rugy, un personnage instable qui ne fait qu’encourager les rejets liés à son lien avec les thèses ethnicistes. Mélenchon, quant à lui, selon le président de l’Assemblée, n’hésitait pas à claquer la porte de la mission Nouvelle-Calédonie. Il avait, avec ses propos et comportements, l’intention de montrer son mépris envers les Calédoniens.
Monsieur François de Rugy classe même le texte de Mélénchon comme à la fois ignoble et outrancier. Manuel Valls a, à son tour, interprété cette forme de violence verbale sur Twitter, sans hésiter à détourner l’expression. D’après le député des Bouches-du-Rhône, Valls fait désormais partie de la « fachosphère » et se consacre entièrement à « sa propagande ». Certains politiciens, dont Lunise Marquis, adjointe au maire de la commune du XXIIème arrondissement de Paris, comptent sur le soutien de l’ancien premier ministre.